Explosif !

C’est par ce moment que l’on pourrait résumer cette soirée au Zenith de Paris s’il ne fallait qu’un mot.

La soirée débute à 20h30 par Tom Walker qui est loin d’être une première partie inconnue.

En effet, après un concert complet aux Etoiles en 2018, puis à la Cigale, il fait les ouvertures de la tournée européenne de One Republic. Le chanteur-compositeur écossais, qui a grandi à Manchester, a vu sa popularité exploser après son tube “Leave A Light On”. 

Toujours avec son bonnet et son sourire à toute épreuve, c’est avec une joie non cachée qu’il nous offre son set. Il nous exprime à plusieurs reprises son bonheur de jouer à Paris.

On peut même entendre dans le public certains masculins dire être encore plus heureux d’entendre Tom Walker que la tête d’affiche. Il est vrai que Tom Walker a une voix qui ne laisse personne indifférent, sa voix est puissante et transmet énormément d’émotions.

Si vous ne connaissez pas, je ne peux que vous conseiller d’aller vite l’écouter.

Après 45 minutes de changement de plateau un peu longue, c’est enfin OneRepublic qui débarque sur scène avec un Ryan Tedder en très grande forme. Le zénith est presque plein (quelques gradins ont été fermé). La machine à tube est lancée. Les morceaux et les tubes s’enchainent devant une foule, elle aussi très en forme et heureuse de pouvoir les retrouver enfin sur scène (et oui, les fameux reports).

Dès la fin du 2ème morceau « Good Life » une pluie de confettis nous surprend. Le chanteur prend ensuite le temps de remercier son public d’être venu si nombreux et ceci dans la langue de Molière.

Dès le début, les tubes se suivent, tel que « Stop and Stare », « Rescue Me », « Love Runs Out »  .. le public assis dans les gradins ne le reste pas longtemps et reste debout pour le reste du show.

Un(e) fan du public remet au chanteur un drapeau français que celui-ci met autour du micro puis qu’il dépose fièrement sur son piano.

S’en vient ensuite, un medley dont le titre « Halo » écrit pour Beyoncé.

Il enchaine avec les tubes « Love Somebody », « West Coast », « Run », puis leur plus gros tube « Apologize » qui les a révélés au plus grand nombre. Il tente de faire chanter le public en demandant aux voix aiguës (il précise aux filles qu’il n’a pas demandé de crier), puis les voix graves de participer sur le titre. Il plaisante beaucoup avec le public et demande d’ailleurs qui parmi les hommes venus en tant qu’accompagnateurs pensaient assister au concert des One Direction (il pardonne celui ayant eu le courage de lever le bras mais il devra payer à boire au 1er rang, je pense qu’à l’heure qu’il est, ils ont toujours très soif).

Il nous dit que c’est le meilleur public qu’il ait eu. Le show est stoppé quelques minutes, un homme ayant fait un malaise dans la fosse. Ryan s’assure que celui-ci est pris en charge avant de reprendre le show.

Lors de « Counting Star », il quitte la scène pour faire un tour du Zénith, se baladant également dans les gradins suivis par un service de sécurité.

Il y aura de nouveau une explosion de confettis à la fin du show.

Près d’1h40 de show avec un fin vers 23h05. Ce qui est sûr, c’est qu’il ne s’est pas reposé lors de ce show et qu’il nous a donné toute son énergie et ce, pour le plus grand plaisir de la foule s’étant déplacée ce soir. Merci à Live Nation pour ce show.

Steph Vanou

SETLIST

Kids

Good Life

All the Right Moves

Stop and Stare

Rescue Me

Secrets

Wherever I Go

Love Runs Out

Bleeding Love / Rumour Has It / That’s What I Want / Ghost

Halo (Beyoncé cover)

Lose Somebody (Kygo cover)

West Coast

Run

Sucker (Jonas Brothers cover)

Sunshine

Apologize

I Lived

Rappel :

Counting Stars

Future Looks Good

If I Lose Myself

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